À l’époque du Premier Grand Temple, les prophètes d’Israël n’avaient pas le pouvoir de ramener leur peuple sur le droit chemin et d’empêcher ainsi la destruction du Temple et l’exil babylonien.

Face à cet échec, la Lumière prépara un plan d’urgence, afin d’aider une dernière fois le peuple d’Israël à accomplir sa mission en tant que Peuple Élu et à diffuser le plan de la Lumière à l’ensemble de l’humanité.

Les prophètes reçurent la connaissance de ce plan de salut et annoncèrent la venue d’un homme dont le pouvoir serait plus fort que leur pouvoir spirituel, puisqu’il aurait le Pouvoir Divin – le Messie.

***

Je vous invite à remonter le temps avec moi, à peu près en l’an 0, et à écouter la véritable histoire du Messie, Jésus-Christ, en accord avec les Lois de la Création.

À cette époque, le peuple d’Israël était asservi à l’Empire romain et son état spirituel se dégradait.

Cependant, c’est précisément l’agonie de l’esclavage, telle que celle vécue par les Israélites en Égypte, qui permit à un petit groupe au sein de cette nation de maintenir allumées les braises de la nostalgie de la Lumière, et c’est pourquoi, conformément à la Loi de l’Attraction du Genre Semblable, le Messie devait s’incarner dans cette nation, dans ce peuple.

Son Message était, effectivement, avant tout destiné au peuple d’Israël, parce qu’à l’époque, en raison de son développement spirituel, ce peuple était celui qui avait le plus haut potentiel pour le recevoir et le comprendre.

Cependant, son Message n’était pas destiné uniquement au peuple d’Israël. En fait, selon le plan de la Lumière, la nation d’Israël devait transmettre le “Message de Dieu” aux autres nations, afin de les aider à atteindre elles aussi la maturité spirituelle.

***

Jésus était l’enfant issu de l’amour entre Marie, qui avait été préparée à cette tâche au cours de nombreuses incarnations, et Créolus, un noble chevalier romain de la classe sociale la plus élevée.

Un amour qui ne pouvait pas se réaliser à cette époque.

Jésus ne pouvait pas naître d’une vierge qui aurait procréé par l’intervention de l’Esprit Saint, car selon les Lois de la Création, la naissance d’un corps humain ne peut avoir lieu qu’à la suite de relations intimes !

Dieu aurait dû agir à l’encontre de Ses propres Lois si cela était vrai. Mais ceci est impossible, parce qu’Il est parfait depuis le commencement, tout comme Sa Volonté, qui réside dans les Lois de la Création.

Celui qui ose encore penser autrement doute de cette perfection et donc, en fin de compte, doute aussi de Dieu ! Car un dieu imparfait, c’est-à-dire un dieu qui agit arbitrairement, ne serait pas Dieu.

En plus, cette histoire imaginaire de la Vierge Marie a conduit des millions de croyants chrétiens à avoir une conception déformée de la sexualité.

D’une part, les prêtres répriment leur sexualité, ce qui conduit à l’irruption de terribles déviances telles que la pédophilie. D’autre part, une myriade de couples mariés ont une perception biaisée du sexe et de la sexualité, parce que s’il est vrai qu’une conception immaculée doit provenir de l’Esprit Saint, alors nous sommes tous nés dans le péché.

Jésus a-t-il jamais prêché l’abstinence ou le célibat sexuel ? Non !

(Tout comme il n’a pas prêché l’adoration de sa vierge mère, Marie !)

Il ne l’a jamais fait, car la sexualité est un acte naturel et fait donc partie des Lois de la Création qui sont aussi les lois de la nature.

Le concept de chasteté ou de pureté va de pair avec l’amour véritable entre un homme et une femme, et non avec l’abstinence sexuelle. Par conséquent, la conception de Jésus s’est effectivement déroulée dans la pureté, puisqu’il y avait un véritable amour entre Marie et Créolus, même si les lois religieuses juives ne leur auraient pas donné leur bénédiction.

Après que Créolus, envoyé en mission par l’empereur Auguste, fut retardé dans son plan d’aller chercher sa Marie bien aimée pour la ramener à Rome, celle-ci n’eut d’autre choix que d’épouser Joseph, un charpentier juif, qui était de plusieurs années son aîné.

Joseph l’aimait et accepta de l’épouser, bien qu’il ait su la vérité.

Il adopta Jésus comme son fils et fut son meilleur ami jusqu’à ses derniers jours.

La nuit où Jésus naquit, dans une étable de Bethléem, fut une nuit sainte au cours de laquelle un joyeux chant de gratitude se déversa dans toutes les sphères de la Création.

Qu’est-ce qui a fait de cette nuit un événement exceptionnel dans l’histoire de l’humanité ?

Nous allons l’expliquer, mais c’est une explication que l’intellect – limité à l’espace et au temps – ne pourra jamais saisir.

Vous devez donc ouvrir votre esprit pour pouvoir saisir ne serait-ce qu’une petite partie de l’ampleur de cet événement.

Dieu agit dans la Création à travers deux forces : l’amour et la justice.

La Sainte Trinité, c’est : Dieu, Amour et Justice.

Dieu le Père – signifie le Créateur.

Dieu le Fils – signifie l’Amour.

Et le Saint-Esprit – une notion dont beaucoup ont cherché à comprendre le sens – signifie la Justice.

Contrairement à tous les êtres humains, y compris tous les grands prophètes et messagers, qui sont issus de la sphère spirituelle, Jésus est issu de la Divinité elle-même !

Jésus est l’incarnation de l’Amour Divin dans une forme humaine, et c’est la raison pour laquelle il est appelé le Fils de Dieu !

C’est également le sens de la prophétie du prophète Michée, selon laquelle le Messie naîtra à Bethléem et sera issu de la Divinité elle-même :

” Et toi, Bethléhem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur Israël, et dont l’origine remonte aux temps anciens, aux jours de l’éternité…”. (Michée 5:2)

(Plus tard dans cette conférence, nous parlerons de l’incarnation divine supplémentaire du Saint-Esprit, qui est la Justice divine, dans une forme humaine).

Lors de cette nuit sainte, où toute la Création a résonné dans un chant d’Alléluia, la plus grande partie de l’humanité ne l’a pas entendu.

Hormis l’étoile brillante aperçue dans le ciel, aucun des habitants de la Terre n’a vu l’ange du Seigneur, le porteur de la nouvelle de la Lumière ni les armées de Lumière qui l’entouraient.

Personne n’a rien vu ni entendu, à l’exception de quelques bergers choisis à cet effet. Parce qu’ils étaient des gens simples et proches de la nature, ils devinrent temporairement clairvoyants et purent voir et entendre ce qui se passait, afin de pouvoir en témoigner devant le reste du peuple.

Toute grande nouvelle pour l’humanité venant du Divin se produira toujours par l’intermédiaire des quelques personnes qui s’ouvrent à elle, grâce à leur humilité. (Un autre exemple d’une telle personne est Moïse, qui, comme on pouvait s’y attendre, était aussi berger).

S’attendre à ce que la nouvelle du Messie soit annoncée par un feu d’artifice que n’importe qui peut facilement reconnaître est une demande puérile, qui cherche une fois de plus à passer outre les Lois de la Création, puisque chaque message envoyé par la Lumière nécessite un niveau de conscience approprié pour pouvoir être reçu.

Au moment de la naissance de Jésus, Marie et Joseph reconnurent dans l’étoile l’accomplissement des prophéties, et Joseph se cacha même le visage, car il était profondément ébranlé.

Trois rois ont bien trouvé le chemin de l’étable et ont offert des cadeaux terrestres au nouveau-né. Cependant, ils n’ont pas pleinement reconnu leur haut Appel, qui était d’utiliser leur rang et leur richesse pour protéger l’enfant et faciliter son chemin sur Terre, afin qu’aucun mal ne lui soit fait au cours de l’accomplissement de sa mission.

(Un appel qui existe encore aujourd’hui pour les personnes qui ont été bénies avec des richesses matérielles et qui sont censées les utiliser pour aider les messagers dans le travail d’ascension de la planète Terre).

Jésus grandit et devint un beau et noble garçon aux yeux bleus, à la peau claire et à la crinière de boucles blondes.

Les premières années de son enfance se déroulèrent en Égypte, après que Marie demanda à Joseph de quitter Nazareth parce que les gens murmuraient que l’enfant ne ressemblait ni à sa mère ni à son père…

Le souvenir de l’étoile brillante fut oublié à la fois par Marie et par Joseph lorsqu’ils se plongèrent dans le travail et les préoccupations de la vie quotidienne et parce que, pendant son enfance, Jésus ne faisait pas de miracles, contrairement à ce que prétendent les légendes, mais se comportait naturellement comme les autres enfants.

Cependant, un trait de caractère dominait dès son plus jeune âge : le désir d’aider les gens.

Lorsque Joseph lui demanda ce qu’il aimerait faire lorsqu’il serait grand, Jésus répondit qu’il ne voulait pas être un savant comme les pharisiens et les scribes, ce qu’il aurait pu être en raison de ses talents et de ses compétences, mais plutôt qu’il voulait être un aide.

Aider tous les êtres humains.

Aider tous ceux qui sont dans l’erreur, s’écartent de leur chemin et s’attirent des souffrances faute de connaître la Vérité au sujet de Dieu.

Lorsque Joseph fut sur son lit de mort, il vit dans ses derniers instants la Croix et la Colombe – dont nous parlerons plus loin – au-dessus de Jésus, qui se tenait seul près de son lit.

Il trembla en prononçant ses dernières paroles : “Et pourtant, c’est bien toi !”

Mais Jésus lui-même n’en savait rien.

Il ressentait seulement une agitation intérieure constante et une nostalgie de la Lumière qui finirent par le pousser à se rendre auprès de Jean dont il avait entendu dire qu’il dispensait un enseignement plein de sagesse et qu’il baptisait dans le Jourdain.

Jean le Baptiste était une réincarnation d’Élie le Prophète, un parent de Jésus et un membre d’une famille aristocratique de prêtres.

Dès l’âge de dix ans, il avait lu les enseignements des prophètes sur la venue du Messie :

La prophétie selon laquelle le Messie entrera à Jérusalem monté sur un âne. (Zacharie 9 :9)

La prophétie selon laquelle le peuple d’Israël le méprisera et le rejettera. (Isaïe 53 :3)

La prophétie selon laquelle le Messie guérira les malades. (Isaïe 35, 5-6)

La prophétie selon laquelle le Messie arrivera avant la destruction du Second Grand Temple et mourra en 32 après J.-C., et qu’après sa mort le Temple sera détruit. (Daniel 9:21-26)

(Soit dit en passant, il s’agit d’une prophétie que les Juifs ne pouvaient pas nier. Cependant, comme ils ont nié que Jésus était le Messie, leur intellect a fait des heures supplémentaires pour aboutir à l’idée selon laquelle y aurait deux messies ! Ainsi, selon eux, cette prophétie parle du Messie Ben (fils de) Joseph, alors que le Messie Ben (fils de) David est encore à venir).

Le rôle de Jean-Baptiste – la voix qui crie dans le désert – était d’ouvrir la voie pour la venue du Messie. C’est-à-dire de préparer la conscience des gens à recevoir l’Évangile du Messie, le Fils de Dieu.

En tant que véritable prophète, il ne pouvait évidemment pas travailler au sein de l’establishment corrompu du Grand Temple et des synagogues, c’est pourquoi il prêchait pour le repentir et l’expiation dans la nature.

Sur les rives du Jourdain, il baptisait les corps physiques des personnes qui venaient à lui, en tant qu’acte symbolique, ce qui leur transmettait la Force pour la purification de leur âme.

En passant, il est important de mentionner que le baptême est un acte que toutes les personnes désignées par les responsables de l’église terrestre ne peuvent pas accomplir d’une manière qui soit spirituellement valable.

En fait, pour accomplir un tel acte dans le but prévu, la personne désignée doit être connectée à la Lumière.

Seule une telle personne est capable de transmettre la Force de la Lumière.

Or, cette capacité ne s’acquiert pas par des études académiques ou par une nomination de l’Eglise, mais c’est au contraire un don Divin qui n’est accordé que par la Lumière !

Et cela aussi ne peut se faire que dans le respect absolu des Lois, après que la personne a préparé en elle un terrain de pureté pour pouvoir recevoir la bénédiction de Dieu.

C’est pourquoi la cérémonie du baptême qui a lieu de nos jours dans les différentes églises n’est rien d’autre qu’une cérémonie d’acceptation dans le giron de l’institution religieuse, mais pas nécessairement dans celui de Dieu !

La figure charismatique du prophète Jean-Baptiste attira de nombreux croyants, mais aussi pas mal d’ennemis, car il s’opposait de façon ouverte aux dirigeants des différentes sectes juives de l’époque, les Pharisiens et les Sadducéens, dont il traitait les membres d’”engeance de vipères”. C’est-à-dire les successeurs de la doctrine du Serpent, qui déconnectait les gens de leur esprit et les rendait esclaves de l’intellect.

Jésus atteignit ensuite le Jourdain.

Jean Baptiste le regarda avec les yeux de son esprit et vit quelque chose qu’il n’avait jamais vu auparavant : un homme complètement pur. Si pur qu’il se sentit comme un pécheur à côté de Jésus !

Il commença à percevoir que Jésus était l’homme dont il avait été préparé à annoncer la venue. L’homme dont il disait qu’il serait plus puissant que lui et dont il n’était même pas digne de porter les sandales ; l’homme qui baptiserait tous les hommes par l’Esprit Saint et par le feu.

Jésus demanda à être baptisé et Jean lui répondit : ” C’est moi qui ai besoin d’être baptisé par toi, et tu viens à moi ?”. (Matthieu 3:14)

Mais Jésus insista pour être baptisé et alors… lorsqu’il sortit de l’eau apparurent à ses côtés les deux signes sublimes auxquels seuls ceux qui sont issus de la Divinité sont liés par un lien indéfectible et que, par conséquent, ils portent également en eux : la Croix de la Vérité vivante et rayonnante en lui et la Colombe au-dessus de lui.

La Croix est le symbole de la Vérité, et la Colombe est le symbole de la Volonté Divine, le Saint-Esprit.

La Croix de Vérité, qui était visible au moment du baptême de Jésus, n’est mentionnée dans aucun des évangiles du Nouveau Testament. La raison probable de cette omission est la déformation de la signification originelle de la croix, qui a eu lieu après la crucifixion de Jésus.

La Croix de Vérité est une croix à deux branches égales qui, entourée d’un cercle, symbolise les trois Lois les plus importantes de la Création : La Loi de la Pesanteur est symbolisée par la ligne verticale. La Loi de l’Attraction du Genre Semblable est symbolisée par la ligne horizontale et le cercle symbolise la clôture du cycle de la Loi de Cause à Effet.

C’est pourquoi, lorsque Jésus s’adressa à Ses disciples et leur dit :

“Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. (Luc 9:23)

ou lorsqu’Il dit :

” Celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi.” (Matthieu 10:38)

Il parlait de la Croix de la Vérité, et le sens de Ses paroles était que seuls ceux qui étaient prêts à tout abandonner et à se consacrer à la Vérité pouvaient devenir ses disciples.

Cette Croix n’a rien à voir avec la croix sur laquelle Jésus a été crucifié, c’est-à-dire la croix sur laquelle on exécutait les gens dans les temps anciens !

Later in this lecture, we will be able to understand how the brutal crime of the crucifixion of Jesus was distorted into a theology, according to which the death of the Messiah was necessary in order to atone for the crimes of humanity. And due to this mistake, the Cross of Truth was distorted into the cross of suffering.

Revenons au moment du baptême de Jésus par Jean :

Tout messager a un moment déterminant où il prend conscience de sa mission.

Pendant que Moïse regardait le buisson ardent, le voile fut retiré de ses yeux et sa mission lui fut révélée.

Pour Jésus, son baptême fut le moment où le voile fut ôté de ses yeux et où il se rendit compte qu’il était bien le Fils de Dieu :

” Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection.” (Matthieu 3:17)

Ensuite, Jésus se mit en route pour le désert, afin que la solitude l’aide à absorber et intégrer la conscience qu’il était une partie de la Divinité éternelle.

A partir du moment où Il fut baptisé, Jésus perçut déjà intuitivement la Puissance Divine en lui, mais il lui fallut plusieurs jours pour franchir les niveaux de conscience nécessaires pour être prêt pour sa mission terrestre et mettre cette Puissance en pratique.

À partir de son baptême, il n’a fallu que quelques jours à Jésus pour reconnaître complètement les Lois de la Création. Les Lois dans lesquelles il devait déverser Sa Puissance.

Cependant, ces jours furent aussi le seul moment où Satan, qui connaissait très bien les Lois, pouvait encore convaincre Jésus d’accomplir un acte qui aurait détruit la capacité de Jésus à accomplir sa mission, puisque cela aurait été contraire aux Lois.

Satan a toujours tenté les hommes en exploitant le point faible spécifique de chacun. Et pour le Fils de Dieu, le plus grand point faible, à travers lequel Satan attaqua, était l’amour profond de Jésus pour l’humanité.

C’est par ces mots qu’il tenta de tromper Jésus :

“Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.” (Matthieu 4:3)

Au cœur du piège trompeur de Satan, il y avait le plan de pousser Jésus – qui était déjà conscient de la Puissance qu’il avait reçue pour faire des miracles – à accomplir un acte qui était impossible selon les Lois de la Création puisqu’il les aurait transgressées, ce qui aurait finalement détourné les gens de Jésus et de Son Message.

Jésus avait un réel besoin ardent d’aider les gens. L’accomplissement d’un tel miracle aurait pu en attirer plus d’un, car depuis la nuit des temps, les gens ont le fantasme d’un Dieu parfait accomplissant des actes arbitraires en dehors de Ses Lois, même si de tels actes ne peuvent pas réellement se produire, puisqu’ils seraient contraires aux Lois parfaites de la Création.

Cependant, c’est précisément cette expérience, à ce moment précis, qui déclencha la révélation, réveillant la connaissance ancrée en Jésus pour repousser le diable.

« Jésus lui dit : “Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul”. » (Matthieu 4:10)

Après son expérience dans le désert, Jésus se rendit en Galilée pour commencer sa mission de service, en apportant le plan de salut au peuple d’Israël.